Le tatouage de reconstruction mammaire

Grâce à la technique reconnue de dermopigmentation réparatrice, le tatouage 3D de reconstruction des aréoles mammaires est une technique extrêmement efficace. Le tatouage de réparation implique de déposer de l’encre sous la peau avec une aiguille pour un résultat pérenne et de grande qualité*.

*Toutes les encres et le matériel employés répondent à toutes les normes d’hygiène et de sécurité en vigueur en Suisse.

La dermopigmentation réparatrice s’adresse en particulier aux personnes après mastectomie qui souhaitent procéder à la reconstruction de l’aréole et du téton. Cette ultime étape dans le processus de reconstruction leur permet de retrouver leur apparence corporelle avant cette épreuve. La technique pratiquée chez Mosaics Repair permet un résultat très réaliste, esthétique et durable.

Des interventions chirurgicales, telles que des augmentations ou des réductions mammaires, peuvent également modifier la forme des aréoles et laisser des cicatrices gênantes et disgracieuses. A la frontière entre le domaine artistique et médical, le tatouage de réparation propose des solutions inespérées auparavant.

Toutes les personnes qui traversent un changement d’identité, pour lequel de lourdes opérations peuvent transformer l’aspect des aréoles mammaires (greffes) sont aussi concernées par une réparation en dermopigmentation.

Un accord médical est toujours essentiel pour commencer une démarche dans les meilleures conditions, ainsi qu’une première rencontre sans engagement qui permettra de discuter des résultats possibles au cas par cas. En général 6 mois sont nécessaires, mais cela peut être discuté en accord avec le médecin traitant et en fonction de la situation.

En général, le tatouage de reconstruction mammaire s’effectue 6 mois après la dernière opération, mais une réalisation avant peut être discuté en accord avec le médecin traitant. Chaque situation étant particulière et nécessitant un avis sur mesure. Certaines cicatrices ou certaines contre-indications peuvent notamment s’opposer à une intervention en dermopigmentation réparatrice.